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VIP-Blog de locolo
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  • Créé le : 14/08/2007 15:20
    Modifié : 15/08/2007 16:11

    Garçon (19 ans)
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    [ Bac STG Mercatique ] [ IUT Tech de co ] [ Ville de Toulouse ] [ Ville de Tarbes ] [ Politique ]

    Histoire rapide de tarbes

    15/08/2007 16:11

    Histoire rapide de tarbes


    L’origine de la cité tarbaise serait à situer au IIIe siècle d’après les témoignages des vestiges exhumés du sous-sol.

    Tarba connaît la colonisation romaine et se dote de villas et de grands domaines agricoles, découverts notamment dans le quartier de l’Ormeau. L’existence d’un artisanat se vérifie par les restes d’ateliers de potiers et de tisserands. Le noyau urbain quant à lui assume des fonctions administratives et sera doté d'une église paléo-chrétienne dès le IVe siècle.

    Aux Ve et VIe siècles, sous l’effet des invasions barbares qui déferlent par vagues successives, la ville se rétracte autour du castrum, dont un vestige subsiste dans la cour arrière de la Préfecture.

    Vers 840, les Vikings mènent un raid dévastateur à la suite duquel l’évêque de Bigorre relève la ville en commençant par la cathédrale appelée aussi, avec originalité, la Sède. En 849, elle repousse un nouveau raid mené par le chef viking Hasting[1].

    À la fin du XIIe siècle, le comte de Bigorre s’installe dans son château-fort de Tarbes, entraînant à sa suite la cour de justice. Ensuite, la capitale de la Bigorre reçoit une sénéchaussée royale.

    Deux maisons nobles fondent au XIIIe siècle, hors des murs, l’une le couvent des cordeliers près de Carrère Longue, l’autre celui des Carmes au voisinage du Bourg Crabé.

    À la fin des siècles médiévaux, la ville se compose de 6 bourgs fortifiés séparément, juxtaposés et alignés sur un axe ouest-est, dont le noyau primitif est ordonné autour de la cathédrale. On dénombre ainsi la Sède, Carrère Longue, Maubourguet, Bourg Vieux flanqué à l’est du château comtal, Bourg Neuf, Bourg Crabé, chacun entouré de ses propres murailles.

    Durant les guerres de religion, en 1569, les troupes de Jeanne d’Albret incendient la cathédrale, les couvents et autres églises ainsi que l’évêché. Malgré les destructions stratégiques pour tenter d’assurer la défense du Bourg Vieux, les habitants sont massacrés.

    Au XVIIe siècle, après la peste et les problèmes de logement des gens de guerre, Tarbes assure son renouveau avec la reconstruction du palais épiscopal en 1652 (Hôtel de la préfecture aujourd’hui), la fondation d’un troisième hôpital en 1690 et de deux nouveaux couvents (capucins et ursulines). L’irrigation des terres et la force hydraulique utilisée par les artisans sont produites par le système de canaux dérivés de l’Adour.

    Le XVIIIe siècle annonce un essor démographique, le développement de l’agriculture, de l’artisanat et du commerce. La ville s’étend et des quartiers nouveaux apparaissent (comme l’actuelle rue Maréchal Foch). Ensuite, l’Assemblée constituante dont fait partie Bertrand Barère (député de la Bigorre aux États généraux) décide de la réforme administrative et Tarbes en bénéficie en devenant chef-lieu du département des Hautes-Pyrénées.

    À partir de 1800, Tarbes devient le siège d’une préfecture (accroissement de son rôle administratif et de ses fonctions). En 1806, Napoléon Ier rétablit le Haras national de Tarbes et à partir du cheval tarbais donne naissance à la race anglo-arabe. En 1859, Tarbes est reliée à Paris par voie ferrée.

    Après la guerre de 1870-1871, Verchere de Reffye transforme l’atelier expérimental de Meudon (transféré par train à Tarbes) en atelier de construction d’artillerie (appelé arsenal par les Tarbais). Ainsi, Tarbes devient une ville industrielle et ouvrière mais affirme également sa vocation militaire par la construction des quartiers Larrey (1er RHP), Soult (35e RAP) et Reffye (Gendarmerie).

    Pendant la Première Guerre mondiale, Tarbes intensifie sa production en artillerie du fait de son positionnement géographique en arrière-pays. Le maréchal Ferdinand Foch, illustre commandant en chef des armées alliées, est né à Tarbes en 1851.

    En 1936 Tarbes subit une épouvantable chute de grelons, dont certains de plus de 2 Kg. Toutes les toitures et toute la végétation sont détruites.

    Pendant la Seconde Guerre mondiale, la Résistance fait également partie de la vie de la ville de Tarbes à qui la Croix de Guerre a été attribuée.

    Après le retour de la paix, l’industrie est diversifiée et on constate une expansion de la population. Tarbes reste une ville à fort caractère militaire avec 2 régiments parachutistes en son sein : le 1er régiment de hussards parachutistes (1er RHP) et le 35e régiment d'artillerie parachutiste (35e RAP).

    Aujourd’hui, Tarbes est la deuxième agglomération de Midi-Pyrénées. Elle est implantée au carrefour de voies de communications modernes et constitue un pôle universitaire important

     

    Source : wikipedia






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